J’avais le meme questionnement mais j’etais incapable de bien le formuler comme cela!
Le syndic de faillite est en train de liquider les actifs de l’entreprise. Une fois le processus complété, les créanciers vont être payés selon leur rang de priorité (la dette en premier, les actionnaires en dernier). Tant que le processus n’est pas terminé, il y a toujours une chance que vous receviez un montant résiduel à la fin du processus (quoique j’en doute malheureusement).
Merci beaucoup pour la réponse Mathieur, est-ce tu sais quand sera la fin du processus, y-a-t-il un échéancier déjà préétabli?
Je ne suis pas au courant. Peut-être que tu peux obtenir plus d’information en contactant Deloitte:
Information regarding the SISP and the Corporation’s proceedings under the Companies’ Creditors Arrangement Act and in the United States under Chapter 15 of the Bankruptcy Code (collectively, the " CCAA Proceedings ") are available on the Deloitte Restructuring Inc. (the " Monitor ")'s website at https://www.insolvencies.deloitte.ca/Xebec. Information regarding CCAA Proceedings can also be obtained by calling the Monitor at 514-393-6722 or toll free at 1-888-393-6722 and via email at xebec_ccaa@deloitte.ca.
Excellent merci beaucoup Mathieu
On dirait que l’histoire se répète après Nemaska , Stornoway, Orbite , Biosyntech qui se se sont évaporés en bourse on va espérer un dénouement plus favorable à Lion et Nouveau Monde.
Toujours le fun quand le gouvernement et les petits investisseurs financent la création de technologies/projets, la compagnie fait faillite, et ensuite les gros joueurs achètent les actifs pour 5c sur le dollar et font full de profits avec. 3 fois que je me fais bruler comme ca, je commence à comprendre la game.
Incroyable que pendant que le lithium monte de façon exponentielle, les petits investisseurs se font pogner dans une patente à gosses de Nemaska, qu’au moment où Bisyntech obtient le FDA approval pour son car-gel ,elle manque de liquidités et vend ses actifs pour 1$ à une compagnie indienne, On est capable de monter des usines à gaz les plus sophistiquées au Québec mais incapable de monter une structure de capital qui soit viable pour les entreprises.