Je vous suggère de garder un oeil sur MZI.v Je reviendrais avec des infos sur le titre.
13 k$ de ventes pour les 9 derniers mois ?
Le dernier rapport auquel tu te réfère est en date de Janvier 2015. L’entreprise a été lancée au mois de Décembre 2014 et a commencé à prendre son envol au cours des 3 derniers mois. Les chiffres à surveiller sont ceux à venir et je te dirais surtout ceux qui vont représenter les ventes du premier et deuxième quart fiscal soit de Mai 2015 à Octobre 2015. Plusieurs de leurs produits sont déjà sold out et ils ont une acquisition dans le domaine des wearables/nearables qui s’en vient. Ils sont en train de s’installer dans les boutiques au détail de luxe à travers l’Amérique du Nord. Ils ont des célébrités qui portent leurs produits dont une collaboration avec Sarah Rafferty l’actrice dans la série SUITS. Ils ont une visibilité incroyable sur les médias sociaux et sont suivis par les plus grandes blogueuses de la mode. Disons que les affaires vont bon train pour une entreprise en business depuis environ 6 mois. Ils ont engagé une equipe avec de l’expérience dans l’industrie et grossissent à vue d’oeil. Leur Designer Kevin Costello a travaillé pour les plus grandes marques de la mode. Seulement 38M d’actions, les insiders ont 25% des actions et le CEO possède à lui seul 15%. Un investisseur très connu ( Michael Dalsin ) a investi dans l’entreprise et ce même Dalsin a fait monter PHM de rien à plus de 500M$ de valeur au peak de l’action de PHM à 2$. Le CEO n’a aucune difficulté à lever des fonds, c’est d’ailleurs sa spécialité. Je vois que du positif dans cette entreprise en démarrage. Mon target est à 1$ d’ici la fin de l’année 2015 avec des visées à plus moyen terme autour de 1.50$-1.80$.
Faites vos devoirs
Personnellement, j’ai de la difficulté à croire qu’une petite compagnie sur le venture, qui a tres peu d’argent dans ses coffres puissent se démarquer dans un créneau de produits de luxe comme des sacoches, porte-feuilles et tout.
Dans ce domaine, le marketing nécessite beaucoup et beaucoup d’argent et je vois mal une compagnie comme Mezzi concurrencer des des marques réputées comme Dior, Luis Vutton, etc… Même si les médias sociaux représentent une forme de marketing pas très couteux, j’ai de la misère a croire que ce sera assez pour mousser les ventes à un niveau profitable.
Surtout que les gens qui achètent ces produits sont particulièrement le genre de personne qui recherche un status de fierté que représente avoir des marques très connues.
Pour les produits sold-out, je vais le croire lorsque je verrai les états financier. C’est faciles avoir sold-out un produit que tu avait en 1 seul exemplaire.
Ce titre est présentement la “saveur du jour”, on le voit partout, le forum webfin, twitter, le forum hotstockmarket, etc… Je me méfie toujours des “saveurs du jour”, les meilleures opportunités sont souvent caché.
Keir Reynolds le CEO, n’était-ce pas un stock promoter? C’étais pas lui qui était derrière LX Ventures (maintenant devenu Mobio), qui a dèjà été une “saveur du jour”.
Faites vos devoirs…
On est loin d’une saveur du jour. Il y a toute une équipe derrière l’entreprise et les produits sont vendus dans une douzaine de magasins pour le moment en plus de leur site web. Ils sont sur le point d’annoncer de nouvelles boutiques à Toronto et NYC sous peu. En ce qui concerne l’acquisition, écrivez-moi en privé je vous donnerais plus de détails.
Luxury has never been shaken to its foundations as it has in the past five years. With the advent of new players, the emergence of new centers of consumption and creation, and the onward march of technology - the concept of Luxury is being re-defined.
-
Entry level luxury
More accessible luxury products come with an obvious set of risks, since they can quickly become ubiquitous and take the shine off the exclusivity that is luxury brands’ raison d’être. However, successful entry-level pieces can give less wealthy shoppers a taste for a brand and build up loyalty for when they begin to have real spending power. Guerlain’s Petite Robe Noire is a typical cautionary tale in accessible luxury. The perfume saw phenomenally success as a mass-appeal product thanks to an exciting communication strategy. However, wealthier customers deserted the brand in droves as its exclusivity was worn away, and Guerlain is now investing heavily in high-end, bespoke perfumes in an attempt to regain brand equity. It is a dangerous game. -
Social luxury
While this might seem like an obvious point in 2015, luxury brands were notoriously slow on the social media uptake. But with Burberry leading the way, even Chanel - which was largely inactive on Instagram until last year - now live streams its Métiers d’Art shows, the most recent edition of which took place in Salzburg. -
Online luxury
Translating the all-important boutique experience from Avenue Montaigne to the web was never going to be easy, and many luxury brands are still hesitating to make their goods available online. However, with the wealthiest shoppers also the most connected, brands are realizing that they have no choice but to ensure that they connect strongly with clients in this space. The boundaries between the boutique and the web are blurring as in-store personal shoppers reach out to preferred customers over Instagram and even Snapchat with the latest pieces. Net-à-Porter meanwhile pioneered the editorial approach, displaying each season’s offering in a format reminiscent of glossy magazines’ shopping pages. -
Millennial luxury
Millennials are the fastest growing segment of consumers of luxury goods (31 percent increase in luxury spending over 1 year vs 19 percent increase for Boomers and 23 percent for Gen X (American Express Business Insight). It’s little surprise, then, that they have been reshaping the meaning of luxury. Traditional luxury categories like apparel and accessories interest younger consumers, whereas technology is quickly becoming the most desirable category, particularly thanks to Apple. Quality is also being redefined by Millennials, for whom it is much more intrinsically linked to product features and exclusivity, and less dependent on established brands. -
Open luxury
Closed-off and monolithic brands are beginning to look less mysterious and more outdated; new generations in particular respond better to interactive brands that acknowledge their existence. Burberry’s strategy of personalization, allowing customers to customize everything from ponchos to handbags, is a prime example of how a slight concession to consumers can go a long way in terms of loyalty.
Pas mal d’accord avec le post de Luc ^^
C’est une des rares compagnies sans revenus sur lesquelles j’ai fait de la due dilligence et j’ai fini par conclure que le ratio risk/reward n’est pas assez intéressant. Oui il y a une mince possibilité que ca devienne the next big thing mais beaucoup de chances que ca finisse juste par faire faillite aussi. Il n’y a rien de prouvé dans ce concept pour l’instant et c’est un domaine ultra compétitif.
L’histoire est vraiment belle du moins. J’ai eu le gout d’en acheter au départ, avant de me rendre compte que ca ne cadre aucunement dans mes critères d’investissement. Ca me fait penser à cet article que j’ai lu ce matin:
Ce que j’aime de mon côté c’est le fait que le CEO investi beaucoup de son propre $$$ dans l’entreprise, c’est assez rare de voir ca dans le Venture ( avec des quantités aussi imposantes )
REYNOLDS ACQUIRES ADDITIONAL SHARES
Pursuant to a private share transfer agreement, Keir Reynolds, chief executive officer of Mezzi Holdings Inc., has acquired ownership, control and direction over 2,224,500 common shares of the company, representing 5.8 per cent of the issued and outstanding common shares of the company, at an effective price of 14 cents per share.
Following the acquisition, Mr. Reynolds has ownership, control and direction over 3,602,500 common shares, representing 9.4 per cent of the issued and outstanding common shares of the company, and 550,000 share purchase options. Assuming exercise of all of the share purchase options held by Mr. Reynolds, he would have ownership, control and direction over 4,152,500 common shares, representing 10.9 per cent of the issued and outstanding common shares. Mr. Reynolds also exercises control and direction over 1,327,500 common shares of the company held by Mammoth Market Advisory Corp. When combined with Mr. Reynolds’s existing holdings, and assuming exercise of all share purchase options held by Mr. Reynolds, he would have control and direction over 5.48 million common shares, representing 14.3 per cent of the issued and outstanding common shares.
Mr. Reynolds has advised the company that he has acquired the shares for investment purposes, and may in the future acquire or dispose of shares as circumstances or market conditions warrant. A copy of the early warning report filed with the applicable securities regulators regarding the acquisition is available under the company’s SEDAR profile.
We seek Safe Harbor.
P.S: J’ai plus de 40K$ investi dans MZI dans le CELI
C’est bien de voir que le CEO a une position importante mais pour se faire une idée il faudrait voir un bilan et des résultats significatifs. A mon humble avis, le risque de perte permanente du capital est beaucoup plus élevé dans un démarrage que dans une compagnie ayant déjà des revenus.
Tout à fait d’accord. Le risque est élevé comme dans n’importe quelle entreprise en démarrage. Ce qui va faire la différence entre le succès et l’échec est souvent l’équipe de gestion en arrière et le fait d’avoir des investisseurs avec des poches profondes qui te supportent comme Michael Dalsin dans ce cas-ci. En comparaison avec les minières qui ne verront jamais de revenus dans la plupart des cas le choix de MZI reste plus intéressant. Au final, on discutent de micro-caps et dans tous les cas ils faut être prêt à tout perdre. Perso, le ratio risque/rendement est intéressant avec MZI.
La news REYNOLDS ACQUIRES ADDITIONAL SHARES a été publiée le 30 mars, alors que l’action variait entre 20 et 24 cents… et il a acquis ses actions a 14 cents.
C’est le fun qu’un CEO ramasse des actions de sa compagnie mais quand il les ramasses a gros rabais, ca j’aime moins ca
Reste qu’il aurait pu les revendre dans le marché à 0.31$ si il voulait faire une passe d’argent rapide ce qu’il n’a pas fait.
Je ne suis pas ici pour convaincre qui que ce soit. Je partage juste l’info, à vous de faire vos devoirs et l’avenir nous en dira plus long
Oui merci du partage. Pour ma part, je n’aime pas l’expression dans tous les cas de microcaps il faut être prêt à tout perdre… Avec une telle approche cela encourage à la complaisance et faire ses devoirs selon moi cela commence par s’assurer que tu paies un prix raisonnable et qu’il y a des actifs et une capacité bénéficiaire actuelle ou imminente.
En général, ca prend au moins 2-3 ans avant de voir des profits pour une start-up donc ce ne sont pas les profits imminents qui m’intéressent mais plutôt le potentiel futur basé sur une croissance des ventes exponentielle ( reste à prouver avec les résultats ). L’équipe est là et le plan d’affaires est executé à la perfection jusqu’à maintenant. À suivre…
J’ai vue trop de pump sur cette compagnie, juste pour ça, je passe.
Ce qui sera à surveiller c’est la croissance entre le Q3, Q4 , Q1 et Q2. Je m’attends à une modeste croissance entre Q3 et Q4 ( Terminé en Avril ), un bon jump de Q4 à Q1 ( Les ventes ont réellement commencé au cours du mois de Mai ) et finalement Q2 sera le réel baromètre ( Ventes de Août, Septembre et Octobre 2015 ).
A partir de combien de revenu l’entreprise deviendra profitable ?
Difficile à évaluer au moment présent car on ne peut se fier aux derniers résultats qui sont le fruit des 2 premiers mois du lancement de l’entreprise. Mais ils semblent avoir un burn rate de 500K$ par quart donc je dirais qu’à partir de 2-3M$ de ventes ils seraient break-even. On aura une meilleure idée avec les résultats à venir du Q4 mais surtout ceux du Q1 2015. Je n’anticipe pas de profitabilité avant 2 années d’opérations si tout se déroule bien.